Lenvers du décor du Théâtre de Corbeil-Essonnes Actualites L’envers du décor du Théâtre de Corbeil-Essonnes. Publié il y a plus de 5 ans Théâtre, jazz, cirque, jeune public, humour, master class et compagnie en résidence, la scène du théâtre de Corbeil est ouverte à tous les vents artistiques. Et le courant entraîne vers elle un large public et les artistes les plus divers
Théâtre” L’envers du décor (Apéro nocturne pour alcooliques avisés)” L’alcool : plaisir pour certains, enfer pour d’autres, quel est le bon équilibre ? Suite à une visite médicale du travail, Momo, travailleur immigré mais bien intégré, doit se
Premièreexposition au Centre national du costume de scène et de la scénographie consacrée à la mise en scène théâtrale, aux décors et aux trucages, « L’Envers du décor » est un voyage historique, ludique et interactif dans les coulisses de la scène au XIXe siècle. Soulevant le rideau de scène, le visiteur découvrira un monde
Aucours des années 1820 et 1830, en donnant aux décors et à la mise en scène un rôle inédit, le théâtre opère la révolution qui accompagne le développement de nouveaux genres. Le drame à la Comédie-Française, à l'opéra historico-romantique et le ballet romantique à l'Opéra sont l'occasion de créer des décorations qui enthousiasment les spectateurs.
Fondéeen 1994 par Eugène Durif et Catherine Beau, la compagnie « L'Envers du Décor » est une structure de création professionnelle conventionnée par la DRAC Limousin - Ministère de la Culture et de la Communication. Elle créé des
Commentreprésenter un homme qui vient de manger ses propres enfants ? Découvrez l'envers du décor du final de "Thyeste", la pièce de Sénèque, l'origine des
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Ce mercredi 2 décembre, les adhérents du Club de la presse étaient invités à découvrir les coulisses du Théâtre du Nord juste avant la représentation de la pièce Nobody. Guidés par Anne Marie Peigné, directrice des publics, ils ont pu assister à la préparation des comédiens pendant que les techniciens règlaient les derniers détails. Situé sur la Grand’Place de Lille, cet imposant mais néanmoins discret bâtiment historique a été édifié en 1717 pour loger le corps de garde royal chargé de surveiller la ville. Transformé successivement en marché couvert puis en vaste hall, il n’est devenu Théâtre du Nord qu’en 1989. Dirigé aujourd’hui par le metteur en scène Christophe Rauck, il fait partie des 34 Centres Dramatiques Nationaux. A ce titre, il est l’un des rares théâtres au nord de Paris à pouvoir concevoir des créations en intégralité. Il dispose en effet d’une équipe technique de 15 personnes représentant tous les corps de métiers nécessaires accessoiristes, costumiers, menuisiers, techniciens son et lumière, machiniste spécialisé, créateur de décors, etc. Les pièces créées au Théâtre du Nord sont ensuite représentées dans toute la France. La salle principale, de 440 places, offre quelle que soit la place où l’on est, une certaine proximité avec la scène. Une seconde salle de 90 places permet d’accueillir des spectacles plus intimistes. Le hall a été entièrement refait pour la rentrée 2015/2016. Exit le fer forgé, il est entièrement repeint de couleurs chaudes, les murs arborent des citations sur le théâtre de William Shakespeare, d’Anton Tchekhov, etc. Dans le but d’amener un nouveau public dans le bâtiment, un espace de restauration à base de produits frais et bio, en partenariat avec le café le Peek A Boo, est ouvert du mardi au samedi, de 11 h 30 à 19 h plus les soirs de représentations. La librairie Le Bateau Livre propose les jours de représentation des ouvrages sur les pièces et auteurs de la saison, les coups de cœur des artistes invités et des libraires, des ouvrages de référence sur le théâtre et les arts de la scène, mais aussi des livres de jeunesse, de littérature ou de philosophie en écho aux spectacles présentés. Le théâtre du Nord s’exporte aussi hors de ces murs de la Grand’Place puisqu’il gère une salle de 320 places à Tourcoing appelée L’Idéal entièrement modulable, elle permet l’accueil de toutes les scénographies et une école de Théâtre à Lille dans la quartier de Bois Blancs. SC Le hall d’accueil a été entièrement rénové Pour la pièce Nobody, un open space d’entreprise et un écran de cinéma ont été installés sur la scène. La salle aux accéssoires Les artistes ont à leur disposition une salle de répétition ayant exactement la même taille que la scène principale 20 mètres au dessus de la scène L’espace librairie est ouvert les soirs de représentation Du mardi au samedi de 11h30 à 19h et les soirs de spectacle, le théâtre propose un espace restauration
Pour fêter son 50e anniversaire de création, Les Belles-sœurs remontent sur scène en octobre dans sa version théâtre musical à la Place des Arts. Présenté pour la première fois en mars 2010, le spectacle musical a depuis été un peu revisité tout en respectant l’esprit de la pièce. Lou Arteau, assistante à la mise en scène, a participé à l’évolution du projet, et nous révèle l’envers du décor. Quel rôle jouez-vous dans le spectacle musical des Belles-sœurs ? Cela fait plus de 30 ans que je travaille avec René Richard Cyr, je l’ai assisté sur de nombreuses mises en scène. En 2009, il m’a contactée pour travailler avec lui sur la création de la version théâtre musical des Belles-sœurs il avait besoin de moi pour la production, mais aussi pour la préproduction, comme le choix des comédiennes, la planification des répétitions… René Richard et moi avons une forte complicité professionnelle parfois, je n’ai même pas besoin de m’exprimer par des mots, il sait interpréter mes réactions ! Je suis son premier spectateur, je lui fournis le premier regard sur son choix de mise en scène. Qu’est-ce que la partie chantée apporte à cette mythique pièce de théâtre ? La pièce a été écrite dans les années 60, mais le discours est toujours d’actualité. Quand on ajoute de la musique, même si les émotions restent aussi fortes, les répliques deviennent plus ancrées et ont un impact plus puissant. Les chansons composées par Daniel Bélanger sont accrocheuses, ce qui apporte un côté entraînant à la comédie musicale. L’accueil du public en 2010 a été incroyable ! Même en France, les critiques ont été dithyrambiques. Je ne pensais vraiment pas qu’il y aurait un tel engouement ! Quelles différences entre les Belles-sœurs de 2010 et celles de 2018 ? Notre base est celle du spectacle de 2010, mais nous avons fait évoluer le texte et la mise en scène. Nous avons une nouvelle production, moins de personnages sur scène, de nouvelles comédiennes… Des nuances subtiles, mais qui feront une différence ! C’est une étape importante et je suis très fière de pouvoir y participer. Je n’échangerais ma place pour rien au monde!» Comment s’est déroulé le choix de la nouvelle distribution ? Le choix des comédiennes n’a pas été très compliqué, puisque la plupart d’entre elles faisaient déjà partie de la production de 2010 ou de la version anglaise de la pièce. Par contre, le rôle de Linda a été plus ardu à combler le personnage est une jeune femme, et comme l’interprète originale a vieilli, elle ne pouvait pas reprendre le rôle. Nous avons fait plusieurs auditions pour trouver la perle rare. De bonnes candidates se sont présentées, mais il manquait ce petit quelque chose en plus… Un jour, Édith Arvisais, qui jouait le rôle de Lise dans la mouture précédente, a dit qu’elle souhaitait auditionner pour le rôle. Quand elle est entrée sur scène, non seulement elle avait l’air d’avoir 16 ans, mais on a eu une bouffée d’émotion quand elle s’est mise à chanter le rôle semblait tellement ancré en elle, j’en ai eu les larmes aux yeux ! C’était devenu évident que nous avions trouvé notre Linda. La pièce s’appuie sur des comédiennes de talent, qui seront 12 plutôt que 15. Qu’est-ce que cela changera à la pièce ? Cela apporte quelques complications pour la mise en scène. Nous devons réadapter le jeu des comédiennes et réorganiser la scène. Par exemple, quelle interprète déplacera quelle chaise, et à quel moment ? Il faut tout repenser pour obtenir de la fluidité dans les déplacements. Du côté musical, les comédiennes doivent aussi trouver leur harmonie, apprendre ou réapprendre à placer leur voix correctement par rapport à celles des autres. Daniel Bélanger a également intégré une magnifique chanson supplémentaire à cette version 2018, une autre nouvelle touche à laquelle il a fallu s’adapter. Cette comédie musicale a remporté un triomphe depuis sa création en 2010, autant en français qu’en anglais. Quel effet cela vous fait-il de contribuer à ce 50e anniversaire ? C’est une étape importante et je suis très fière de pouvoir y participer. C’est un tel privilège de travailler sur cette œuvre magnifique écrite par Michel Tremblay en compagnie du metteur en scène de talent qu’est René Richard Cyr. Je n’échangerais ma place pour rien au monde !
Mise à jour le vendredi 6 juillet 2007 à 14 h 12 Josée Bilodeau est chroniqueuse à Radio-Canada. Théâtre d'été Une critique de Josée Bilodeau Le Petit Théâtre DuNord célèbre ses 10 ans. Depuis ses débuts, la troupe des Laurentides, la seule de la région à se consacrer uniquement au théâtre de création, a gagné un public fidèle, et ce n'est pas seulement pour la beauté du parc du Domaine vert Mirabel où elle se produit tous les étés. C'est aussi pour l'originalité de ses propositions théâtrales. Le Petit Théâtre DuNord a en effet contribué au renouveau du théâtre d'été avec des comédies plus fines et moins superficielles que celles proposées en général dans ce créneau. Pour cet anniversaire, les quatre membres fondateurs Luc Bourgeois, Louise Cardinal, Sébastien Gauthier et Mélanie St-Laurent sont réunis sur scène pour jouer trois courtes pièces signées Fanny Britt, Nico Gagnon et Stéphane Hogue, dans une mise en scène de Philippe Lambert. C'est un vrai plaisir de voir évoluer sur scène ce quatuor d'acteurs, particulièrement Luc Bourgeois, qui donne à chacun de ses personnages une couleur singulière. Le défi proposé aux dramaturges était celui-ci s'inspirer du décor de Jonas Veroff Bouchard pour écrire chacun une pièce d'environ une demi-heure. Un défi qu'ils ont relevé avec originalité et intelligence, et même s'ils ont tous pondu des histoires sur le couple et les rapports amoureux, les trois univers se révèlent bien distincts. Une scénographie en miroir Photo François Larivière Sébastien Gauthier, Mélanie St-Laurent et Louise Cardinal Jonas Veroff Bouchard a conçu un décor de salle d'attente. En fait, il s'agit de deux salles d'attente anonymes contiguës, reflet exact l'une de l'autre. Dans les trois courtes pièces, les auteurs ont mis en scène un lieu réel et un lieu fantasmé, permettant, du coup, de très belles envolées dans l'imaginaire. Fanny Britt, avec le mordant et le regard pénétrant sur les rapports humains qu'on lui connaît, a imaginé, pour Les dromadaires, un premier rendez-vous amoureux dans la salle d'attente d'un petit aéroport où on offre des sauts en parachute. Mais entre le fantôme d'une relation passée et le fantasme d'un amour idéal, la rencontre est sérieusement mise en péril. Dans Le sarrau, Stéphane Hogue explore d'autres types de fantasmes, troublants, inquiétants et hilarants. La salle d'attente d'un cabinet médical devient le lieu de cauchemars provoqués par des pulsions inavouables. Cette pièce plaira assurément aux amateurs de films d'horreur de série B. Chaud devant! de Nico Gagnon, exploite davantage les rouages du thriller amoureux. Les deux salles deviennent les salons de deux appartements de tours anonymes qui se font face et où se déroule une inquiétante chasse à l'image, un jeu de miroirs qui nous tient en haleine du début à la fin. Soulignons la sublime finale de cette pièce, qui clôt la soirée en beauté et en humour. Photo François Larivière Luc Bourgeois et Sébastien Gauthier Après Les envahisseurs il y a deux ans, une pièce à relais écrite par cinq auteurs, Semi-détaché vient confirmer que les défis réussissent très bien au Petit Théâtre DuNord. Semi-détaché. Trois courtes pièces de Fanny Britt, Nico Gagnon et Stéphane Hogue. Mise en scène de Philippe Lambert. Avec Luc Bourgeois, Louise Cardinal, Sébastien Gauthier et Mélanie St-Laurent. Au parc du Domaine vert Mirabeldu 28 juin au 25 août À lire aussi
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