Sonprénom qui vient d’une bière, son étrange casting avec Kechiche et sa fascination pour Joaquin Phoenix Voici les 12 choses que vous ne saviez pas sur Ad
Adèle 15 ans, rencontre Emma qui lui fait découvrir le désir et lui permettra de s'affirmer en tant que femme et adulte Des critiques dithyrambiques : mise en scène intelligente, actrices magnifiques, intensité inouïe de cet éveil amoureux Que rajouter ! Cannes : Palme d'Or 2013
WatchLa Vie d'Adèle Film Entier Complet en français - dm_51a20b37030af on Dailymotion. Search. Library. Log in. Sign up. Watch fullscreen. 9 years ago. La Vie d'Adèle Film Entier Complet en français.
LaVie d’Adèle, chapitres 1 et 2, réalisé par Abdellatif Kechiche, est un long-métrage qui dure 3 heures, mais n’est pas un film sur l’homosexualité de deux jeunes femmes, et je vais vous dire pourquoi. Adèle est lycéenne, elle a 15 ans, elle
Une histoire d’amour magnifique". Voici comment Steven Spielberg a qualifié La Vie d’Adèle, Chapitres 1 et 2 au moment de remettre à Abdellatif Kechiche, Adèle Exarchopoulos et Léa Seydoux une triple Palme d’or. Un fait unique dans l’histoire du festival de Cannes pour un film qui ne l’est pas moins !
Toutesles informations sur le film La Vie d'Adèle - Chapitres 1 et 2. Non OK, j'ai compris Accueil Séries Toutes les Qu'on transforme Emma en espèce de mari macho qui met ses pieds sous la table et Clémentine aka Adèle en femme soumise euh bon ça va un peu loin. Que la romance ici soit vraiment présentée comme une histoire homosexuelle alors que le
wubjHXS. "La vie d'Adèle" retour sur la polémique qui oppose Abdellatif Kechiche et Léa Seydoux Wild Bunch Wild Bunch CINÉMA - "Nous nous sentions comme des prostituées." Point d'orgue de la campagne de communication mouvementée qui entoure La vie d'Adèle, cette exergue choisie par The Independent pour l'interview menée par les deux actrices, Léa Seydoux et Adèle Exarchopoulos. Cette citation est la dernière pierre d'une longue polémique qui accompagne la promotion du film. Palme d'or au festival de Cannes, œuvre choc sur une passion absolue entre deux jeunes femmes, le film arrive en salles ce mercredi 9 octobre, bousculé par la controverse qui oppose Seydoux au réalisateur Abdellatif Kechiche. En dénonçant pêle-mêle, les conditions du tournage, l'omniprésence médiatique, les méthodes dictatoriales ou les origines bourgeoises, les protagonistes ont fait durer une polémique dont les ramifications remontent jusqu'à la Croisette. Bande-annonce Failles Le 26 mai dernier, c'est la consécration. La vie d'Adèle reçoit une triple Palme. Le trio actrices/réalisateur y allait de ses larmes de joie au moment de recevoir le prix. La vision d'une belle équipe et d'un beau moment était offerte aux amateurs de cinéma. Dans la journée pourtant, Le Monde avait publié un communiqué de la branche cinéma et audiovisuel de la CGT. En cause, les conditions de tournage et de production du film d'Abdellatif Kechiche. Le syndicat dénonce tous les manquements au Code du travail. Promesses salariales non tenues, temps de présence étirable à merci, comportement proche du "harcèlement". Sur fond de division de la profession sur la nouvelle convention collective, la missive n'est pas innocente. Symbole Julie Maroh, auteur du Bleu est une couleur chaude, la bande dessinée qui a inspiré le film, apporte elle aussi sa pierre à l'édifice. "Je ne doute pas qu’il avait de bonnes raisons ... de ne pas me rendre visible sur le tapis rouge à Cannes alors que j’avais traversé la France pour me joindre à eux. ... et de ne pas me recevoir, même une heure, sur le tournage du film. De n’avoir délégué personne pour me tenir informée du déroulement de la production entre juin 2012 et avril 2013, ou pour n’avoir jamais répondu à mes messages depuis 2011." Malgré ces quelques cailloux dans la chaussure, le film est salué unanimement. La Palme récompense une histoire d'amour entre deux jeunes filles et est rebaptisée un temps du hashtag Palmepourtous sur Twitter, d'autant plus symbolique que la Manif Pour Tous rassemble à Paris les opposants au mariage gay le même jour. Fractures Le film débarque de l'autre côté de l'Atlantique pour une tournée de festivals Telluride puis Toronto. C'est là qu'une véritable fracture va s'opérer. Léa Seydoux et Adèle Exarchopoulos déballent la grosse artillerie lors d'un entretien au Daily Beast. Face à un média anglo-saxon, les deux actrices ne sont plus dans la nuance. Bien qu'elles louent les qualités du film, elles parlent en parallèle d'un tournage "horrible" notamment lors des longues et très explicites scènes de sexe, des journées sans fin et des centaines de prises pour une même séquence. Une expérience qu'elles ne souhaitent pas renouveler. Plus mesurée dans un entretien à Télérama, Léa Seydoux, omniprésente à la Une des magazines, jure qu'elle ne tournera plus avec Abdellatif Kechiche. Punchlines La réponse du réalisateur ne se fait pas attendre. Dans des propos rapportés par Ramzy Malouki, l'envoyé spécial de Canal+ à Los Angeles, Abdellatif Kechiche apparaît légèrement paranoïaque et invoque même la lutte des classes. Interrogé par le HuffPost Québec, Abdellatif Kechiche se défend "Je n’oblige personne à adhérer à ma façon de travailler. Tout réalisateur possède ses propres exigences. En ce qui me concerne, les comédiens doivent incarner des personnages plus que les jouer." Dans Télérama, le cinéaste va même plus loin et se décrit "humilié et déshonoré" par les propos de Léa Seydoux qui estime que l'actrice "vole la vedette au film et à Adèle". Adèle Exarchopoulos justement, s'est plutôt tenue en retrait des polémiques. Tentant de calmer le jeu, elle explique aux Inrockuptibles voir le cinéaste comme un "génie". "Abdel ne nous a ni frappées ni torturées, il nous a juste demandé de tout donner". Pour Thierry Frémaux, délégué général du Festival de Cannes et fondateur du Festival Lumière de Lyon dédié au film classique, les échanges assassins entre Kechiche et ses actrices "ne sont pas une polémique". "À aucun moment les filles ont dit qu'elles n'aimaient pas le film", estime-t-il à l'AFP Découvrez dans le diaporama ci-dessous quelques images du film - - - - - - - - - - Lire aussi » Palme d'or symbolique et triple pour La vie d'Adèle » La réponse cinglante de Kechiche aux déclarations de Léa Seydoux
Alors que l'équipe de La vie d'Adèle était réunie hier à Los Angeles pour faire la promotion du film, la conférence de presse a tourné au pugilat… En cause les récentes critiques de Léa Seydoux à l'encontre du réalisateur du film, Abdellatif Kechiche est en colère. Il y a quelques jours, le réalisateur de La vie d'Adèle, vainqueur de la Palme d'or au dernier Festival de Cannes, était vivement critiqué par les deux comédiennes du film, Léa Seydoux et Adèle Exarchopoulos. Dans une interview accordée au site américain The Daily Beast, ces dernières expliquaient que le tournage avait été particulièrement éprouvant. "C'était horrible", lâchait Léa Seydoux. "Le tournage ne devait durer que deux mois, puis cela a été trois, puis quatre et cela est devenu cinq mois et demi. A la fin, nous étions extrêmement fatiguées", expliquait encore la comédienne, estimant qu'Abdellatif Kechiche "ne savait pas vraiment ce qu'il voulait". Et Adèle Exarchopoulos de renchérir "Abdellatif Kechiche est un génie mais il est torturé. On voulait donner tout ce qu'on avait mais parfois, on a un peu été manipulé, et cela a été dur à gérer". En outre, les actrices dénonçaient les méthodes assez dures du réalisateur pendant le tournage."Les ouvriers souffrent, pas les actrices adulées"Si, quelques jours plus tard, les deux comédiennes ont quelque peu modéré leurs propos dans les colonnes du Parisien, pour Abdellatif Kechiche, le mal est fait. Actuellement à Los Angeles pour faire la promotion de La vie d'Adèle, où il est accompagné du reste de l'équipe du film, le réalisateur a été invité, lors d'une conférence de presse qui se déroulait hier, à commenter les récents propos de ses deux actrices. Et visiblement la pilule ne passe pas."Si Léa n'était pas née dans le coton, elle n'aurait jamais dit cela", a ainsi lâché le metteur en scène, selon des propos rapportés sur Twitter par le journaliste Ramzy Malouki, correspondant à Los Angeles pour i>Télé et Canal +. Et si le tournage a été rallongé, affirme Abdellatif Kechiche, c'est parce que "Léa n'était pas capable d'entrer dans le rôle". "Les ouvriers souffrent, pas les actrices adulées qui vont sur les tapis rouges", a encore taclé le réalisateur, estimant que Léa Seydoux "faisait partie d'un système qui ne veut pas de lui". Et de conclure "On ne vient pas faire la promotion d'un film à Los Angeles quand on a un problème avec le réalisateur".Léa Seydoux éclate en sanglotsDécontenancée par les propos d'Abdellatif Kechiche à son encontre, Léa Seydoux, arrivée quelques minutes plus tard à la conférence de presse, a tenté de se défendre comme elle pouvait. "Je n'ai pas critiqué d'Abdellatif Kechiche. J'ai parlé de son approche", a-t-elle expliqué, avant d'éclater en sanglots devant les journalistes, toujours selon Ramzy Malouki. "Ma famille ne m'a jamais aidée. Qu'on arrête de parler de privilèges !", s'est-elle emportée. Et de réaffirmer, comme elle l'avait déjà dit dans son interview au Daily Beast, qu'elle ne "retravaillera plus" avec Abdellatif Kechiche. Ambiance...
Film d'Abdellatif Kechiche, adapté du roman graphique de Julie Maroh "Le bleu est une couleur chaude". Palme d'or au Festival de Cannes 2013. Critique du film de Madame Nicole Dufresne, Senior Lecturer Emeritus professeure émérite, Département de français et des études francophones, à l'Université de Californie, Los Angeles qui a bien voulu rédiger l'analyse suivante à notre intention. Les repas sont très révélateurs dans La vie d'Adèle ». Adèle est une fille simple. Elle aime manger, surtout les spaghettis de sa maman, c'est trop bon », dit-elle. À table, avec ses parents, elle se régale et lèche son couteau. Ses manières de table, les gros plans sur sa bouche pleine de sauce tomate dévoilent son milieu fait, ces spaghettis accompagnent Adèle tout au long du film ; elle aspire ses spaghettis, mais n'aspire guère à s'élever socialement. Au lycée, ses notes de français varient selon les explications du professeur. Adèle suit, mais ne peut pas trouver les idées elle-même. Plus tard, elle sera institutrice des petites classes - une profession stable, traditionnellement féminine et soumise à des règles bien établies. La passion d'Adèle et d'Emma, la fille aux cheveux bleus, naît d'un regard au hasard d'un croisement dans la rue. Adèle n'est pas sûre de sa sexualité, mais elle est déjà gourmande d'expériences. C'est Emma, une lesbienne affirmée, qui prend les devants. Adèle devient son élève sexuellement, intellectuellement, mais surtout Emma se sert d'elle artistiquement. En faisant un croquis d'Adèle, elle s'approprie la jeune fille qui devient son modèle. C'est à un dîner chez les parents d'Emma, puis un autre chez ceux d'Adèle que se précisent les différences de classe sociale. D'abord, chez Emma, on propose un menu raffiné - des huîtres et autres crustacés, un vin délicieux. Les parents d'Emma acceptent son homosexualité et l'encouragent dans ses études à l'école des beaux-arts. Il s'agit de s'enrichir, de s'épanouir, de créer sa vie. La décision d'Adèle de devenir institutrice les surprend ils y voient un métier conformiste, sans créativité. Chez les parents d'Adèle, Emma doit cacher son homosexualité et s'invente un copain qui fait des études de commerce. Les parents peuvent alors accepter les aspirations artistiques d'Emma puisqu'elle a un copain qui gagnera bien sa vie. Deux milieux s'opposent l'un, aisé, élitiste et libéral, privilégie ce qui est intellectuel et créatif ; l'autre, petit-bourgeois, est ancré dans une stabilité pragmatique et rassurante. Curieusement les parents d'Adèle disparaissent du film après le dîner. Pourtant, une scène montrant leur dégoût à la découverte de la liaison de leur fille a bien été tournée puis éliminée. De même, plus tard, Emma chassera violemment Adèle de chez elle quand elle apprendra que, se sentant délaissée, celle-ci a trouvé un réconfort masculin. Adèle est une construction d'un milieu petit-bourgeois où la femme maintient un rôle subordonné. Ainsi, elle fait la cuisine lorsqu'Emma reçoit ses amis – des spaghettis, bien sûr – mais ne participe pas à la conversation. Emma essaie de l'élever intellectuellement, de l'encourager à écrire par exemple, mais Adèle ne tient pas à changer. Si Emma est cérébrale, Adèle palpite d'émotions. Sa bouche sert à manger, à embrasser. Difficile pour elle de comprendre l'abstrait lorsque Emma essaie de lui expliquer la philosophie de Sartre, Adèle dit c'est comme Bob Marley ». Elle sent » l'idée, mais ne peut l'expliquer logiquement. Dans plusieurs scènes, Kechiche insiste assez lourdement sur le côté émotionnel d'Adèle avec de nombreux gros plans sur ses larmes, son nez qui coule, son visage rouge et défait. Des plans pénibles à regarder pour le spectateur et qui ont dû être insoutenables pour les deux actrices –exceptionnelles dans leurs rôles - qui se sont plaintes amèrement des conditions de tournage. Ce sont d'ailleurs ces séquences d'une émotion excessive ainsi que les scènes de sexe répétitives qui diluent l'efficacité du film. Les yeux d'Adèle contrastent avec sa bouche goulue. Son regard toujours un peu perdu exprime sa vulnérabilité et cherche un repère sans le trouver. À la fin du film, au vernissage des œuvres d'Emma, Adèle essaie en vain de trouver quelqu'un à qui s'accrocher. Emma, l'artiste reconnue, est entourée d'amis qui apprécient son art ; Emma, la femme, est aussi comblée car elle s'est créé une famille. Ce n'est pas Emma qui est exclue à cause de son homosexualité, mais Adèle qui se retrouve seule. Ironiquement, cette dernière voit son corps nu dans les peintures d'Emma où elle a servi de modèle un rappel de leur intimité, mais aussi de l'objectification de son rôle dans la liaison. Elle n'y a rien apporté que son corps et des spaghettis. Cette solitude contraste avec le début du film où Adèle était bien insérée dans sa famille et son groupe d'amis au lycée. Institutrice maintenant, Adèle fait faire une dictée à sa classe – l'exercice d'apprentissage des règles par excellence. Elle rabâche aux élèves ce que tant d'autres enseignants ont dit avant elle si on est en retard, c'est de votre faute ». Elle continue donc les conventions d'un enseignement sans créativité, sans y prendre sa part de responsabilité. La vie d'Adèle » fait référence à La vie de Marianne » de Marivaux qu'Adèle lisait dans sa classe de français au début du film. Ce récit, écrit à la première personne, narre quelques années dans la vie d'une jeune femme naïve et sensible – telle Adèle. À ce propos, un extrait de ce texte est souvent donné à l'épreuve de commentaire composé au baccalauréat. Dans le film, l'histoire d'un amour lesbien, cet experiment durassien, ne pouvait pas durer à cause du fossé social et culturel entre les deux femmes. On y retrouve aussi l'histoire tellement racontée de l'artiste et de son modèle. On s'attendait peut-être à ce que ne se reproduisent pas ici les stéréotypes du couple hétérosexuel où l'homme réussit mieux que la femme. Dans ses autres films, Kechiche développe des thèmes sociaux l'immigration, les banlieues, la classe ouvrière et l'exclusion. La vie d'Adèle » analyse la fracture sociale et l'exclusion d'une manière inattendue. Le désarroi d'Adèle est poignant. Son isolement reflète la situation de bien des jeunes qui se trouvent sans repères dans une existence sans possibilité d'épanouissement. Note du blog Une lectrice fidèle a attiré notre attention sur un autre film. Guillaume et les garçons, à table!, de et avec G. Galienne, qui traite aussi des conventions sociales. A la une La vie d'Adèle vient de remporter le Prix Louis Delluc.
Add to my selection In Competition - Feature Films ADELE CHAPTERS 1 & 2 BLUE IS THE WARMEST COLOUR Directed by Abdellatif KECHICHE Year of production 2012 Country FRANCE, BELGIUM, SPAIN Length 177 minutes Synopsis At 15, Adele doesn't question it a girl goes out with boys. Her life is turned upside down the night she meets Emma, a young woman with blue hair, who will allow her to discover desire, to assert herself as a woman and as an adult. In front of others, Adele grows, seeks herself, loses herself, finds herself... Videos Credits and casting Photos News Audios Press news Official . 0000 AMLA VIE D'ADÈLE - CHAPITRE 1 & 2 by Abdellatif KECHICHE Official releaseLA VIE D'ADÈLE - CHAPITRE 1 & 2 by Abdellatif KECHICHE Official releaseLA VIE D'ADÈLE - CHAPITRE 1 & 2 by Abdellatif KECHICHE Official releasePhotocall de LA VIE D'ADÈLE - CHAPITRE 1 & 2 by Abdellatif KECHICHE Official releaseInterview of LA VIE D'ADÈLE - CHAPITRE 1 & 2 by Abdellatif KECHICHE Official releaseConférence de presse de LA VIE D'ADÈLE - CHAPITRE 1 & 2 de Abdellatif KECHICHE Official releaseMontée des marches de LA VIE D'ADÈLE - CHAPITRE 1 & 2 de Abdellatif KECHICHE © Debzo / Abdellatif KECHICHE Official release . 0000 AMPress conference of "Blue Is The Warmest Colour" Press news In Competition - Feature Films 74 editions Selection 2013 In Competition - Feature Films LA VIE D'ADÈLE - CHAPITRE 1 & 2 Top of the page
La vie d'Adèle - Chapitres 1 et 2 Drame 2013 3 h iTunes À 15 ans, Adèle ne se pose pas de question une fille, ça sort avec des garçons. Sa vie bascule le jour où elle rencontre Emma, une jeune femme aux cheveux bleus, qui lui fait découvrir le désir et lui permettra de s’affirmer en tant que femme et adulte. Face au regard des autres Adèle grandit, se cherche, se perd, se trouve... Drame 2013 3 h iTunes -12 En vedette Léa Seydoux, Adèle Exarchopoulos, Salim Kechiouche Réalisation Abdellatif Kechiche Bandes-annonces Similaires Distribution et équipe technique
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